‘Quarante jours de liberté’ n’est pas mon premier livre, mais j’ai beaucoup bénéficié de l’enseignement dispensé dans l’atelier d’écriture. Je pense que j’en ai bénéficié d’autant plus que j’avais déjà été confronté aux défis d’écrire un livre et que finalement les conseils prodigués par E-E Schmitt, Douglas Kennedy et Bernard Werber me “parlaient” beaucoup.
Je pense donc que vos ateliers d’écriture ne devraient pas s’adresser uniquement aux auteurs qui veulent publier un premier livre mais aussi aux écrivains amateurs qui ont pu déjà être publiés et qui désirent se perfectionner.
En ce qui me concerne, j’ai travaillé trente-quatre dans le monde humanitaire au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. J’ai été affecté sur différents théâtres d’opérations en Asie (Vietnam, Cambodge, Indonésie, Thaïlande Hong Kong) , en Amérique latine (Chili, Guatemala, Colombie et dans les Balkans). Je n’aurais jamais imaginé qu’une fois à la retraite, je me serais mis à écrire des livres. Mais bon, une fois qu’on attrape le virus….
‘Quarante jours de liberté’ explore l'histoire singulière d'un petit territoire du Nord de l'Italie, centré autour de Domodossola, qui tenta une brève indépendance en 1944 dans un contexte de guerre entre résistants et nazifascistes. À travers un travail de compilation rigoureux, l’auteur mêle récit académique et personnages émouvants, symboles de l'Italie en quête de liberté.